Tromper son monde
En ce jour de Saint-Valentin, le jeudi 14 février 2013, deux cas se présentent :
Cas n°1 Les amoureux qui roucoulent les yeux dans les yeux, attendant avec grand impatience un message de l'être cher, s'offrant des fleurs, des cadeaux, s'embrassant pendant des heures et buvant du champagne autour d'un plateau de sushis pour fêter ce jour exceptionnel.Cas n°2 Les "sans" Valentin(e) qui font totale abstraction de ce jour, ne se connectent pas sur Facebook de peur de voir des messages d'amour niais par milliers, évitent de se rendre au restaurant ou au cinéma afin de ne pas croiser des couples et préfèrent cotoyer les bars afin de noyer leur chagrin dans l'alcool entre "sans" Valentin(e).
Deux cas ai-je dit précedemment ? Pardonnez-moi pour cette erreur grotesque, il y en a trois pour dire vrai.
Reprenons donc le cas n°1 cité auparavant et rajoutons lui quelques vices comme l'infidélité et le mensonge, pour n'en citer que deux.
Voilà maintenant quelques semaines que nous voyons dans le métro parisien des campagnes de publicité prônant fièrement l'infidélité.
En prime, nous avons même le droit à une publicité déclinée spécialement pour ce jour si spécial qu'est la Saint Valentin.
Un amant, ça trompe énormément !